La plupart des employés de Teva Canada qui travaillent à l’usine de Stouffville, une ville au nord de Toronto, savent très bien qui est « Verny ». Et si on vous a déjà prescrit un produit de Teva Canada au cours des 35 dernières années, il y a de bonnes chances qu’elle ait participé à sa fabrication.
Le parcours de Verny à Teva a commencé peu après son arrivée au Canada en 1986, en provenance du Sri Lanka. Son mari travaillait comme superviseur à Novopharm depuis 1983. En 1987, elle a été engagée pour occuper un poste temporaire de 2 mois à l’usine de Scarborough comme inspectrice des comprimés et des capsules.
Ce rôle s’accompagnait de grandes responsabilités – à cette époque, chaque produit était inspecté avant d’être acheminé au service de l’assurance de la qualité (AQ) et au conditionnement – mais Verny apprend rapidement et a vite démontré qu’elle était à la hauteur. En moins de deux ans, elle a obtenu un poste permanent à titre d’opératrice à la fabrication de comprimés/de capsules, puis en 1999, elle a rejoint son mari à l’usine de Stouffville.
Elle a ri lorsque nous lui avons demandé combien de comprimés elle voit passer à chaque année. « Oh, des milliards! », a-t-elle dit. Et ce n’est pas une blague. « La machine que j’ai utilisée hier produisait 350 000 comprimés à l’heure. Le lot complet, fabriqué en deux jours, totalisait 6 millions de comprimés. »
Pour Verny, une journée typique consiste à régler la machine en fonction des documents de granulation et à effectuer des tests pour s’assurer que l’épaisseur, la dureté et d’autres caractéristiques des comprimés sont conformes aux exigences. Une fois que les tests sont terminés, la production peut commencer. Selon l’ampleur de la tâche, un autre opérateur peut l’assister. « Nous travaillons tous en équipe », dit-elle.
Verny se dit très chanceuse d’avoir deux familles – une à la maison et une autre au travail. Son fils, qui est maintenant infirmier au Sick Kids Hospital, l’hôpital pour enfants de Toronto, a travaillé à Teva dans le cadre du programme d’embauche d’étudiants. Il a rapidement découvert un autre côté de sa mère. « Tout le monde à l’usine connaît mon nom », lui a-t-elle dit. Stupéfait, il lui a répondu : « Tu as une autre famille! ».
Le soutien dont elle bénéficie dans son milieu de travail est une autre raison pour laquelle Verny demeure fidèle à Teva Canada depuis 35 ans. Elle raconte que lorsqu’un de ses proches est décédé, l’entreprise a vérifié auprès d’elle si sa famille avait besoin de quoi que ce soit et a offert un emploi à son frère. Ce n’est qu’un exemple des nombreuses occasions où Teva Canada a offert son soutien à sa famille.
Lorsqu’elle reçoit d’autres offres d’emplois mieux rémunérés – et cela arrive – Verny n’est pas tentée d’accepter. « J’aime Teva Canada. Lorsque je travaille ici, je me sens heureuse, et c’est aussi le cas de ma famille. Il n’y a pas que l’argent qui compte; les collègues et autres travailleurs comptent aussi », dit-elle.
Elle est aussi fière de travailler pour une entreprise qui a à cœur la qualité et la sécurité des patients. Elle veut que les gens sachent que travailler à Teva Canada signifie travailler avec des gens qui priorisent la positivité, l’honnêteté et la collaboration.
« La qualité est entre nos mains. Je n’oublie jamais que nous fabriquons des médicaments. Chaque fois que je fabrique un médicament, quel qu’il soit, je me dis que mes enfants, ma famille, pourraient le prendre. »